Les questions que tu as toujours voulu poser.
Exclusivement grâce à vos dons, à vos prières et à l’aide de collaborateurs bénévoles, à l’exception actuellement de deux employés à plein temps et deux autres à temps partiel.
Oui. Nous attachons une grande importance à la transparence. Les dons que nous recevons sont comptabilisés d’après leur objet, si celui-ci est précisé, puis attribués au projet auquel ils sont destinés. Les frais de transfert comptent également pour nous : nous les maintenons depuis plusieurs années à un niveau assez faible, autour de 8%.
Cela dépend de nos besoins actuels pour les projets dans nos différents pays d’intervention. De manière générale, on peut dire que presque toutes les professions sont utiles si le candidat a une attitude missionnaire et est disposé à se rendre utile.
Il s’agit d’un processus qui varie chez chaque personne. La plupart ont d’abord la conviction intérieure qu’il s’agit du chemin à suivre pour eux, sur lequel Dieu veut les utiliser. Il est ensuite important de s’assurer que cette conviction vient réellement de Dieu et n’est pas tout simplement le fruit d’un souhait personnel. Cela se fait le plus souvent par une réflexion approfondie qui, accompagnée d’entretiens avec des responsables, permet à la personne de déterminer la volonté de Dieu.
C’est évidemment une condition capitale et nous attachons une grande importance à une solide formation et préparation dans ce domaine. En fonction de votre domaine de service, une formation avant ou pendant le séjour est possible par correspondance.
Nous adhérons à la confession de foi de l’Alliance évangélique allemande.
Cela dépend du pays, de la région et du travail que vous effectuerez. Les pays francophones du Sahel constituent notre principal champ d’intervention. Cependant, aucune connaissance linguistique préalable n’est requise pour postuler : il est possible d’apprendre la langue pendant la préparation ou sur place. Une bonne maîtrise de la langue officielle du pays d’accueil est toutefois exigée pour les séjours missionnaires à court terme.
Généralement non. Un tel voyage implique une préparation trop intense pour le candidat et trop d’efforts pour nos collaborateurs sur le terrain. Les visites de missionnaires déjà connus, avec leur consentement, ne rentrent évidemment pas dans ce cadre.